Merci !

Cette exposition n'aurait jamais vu le jour sans le concours de nombreuses personnes. Le maire de Serralongue, Jean-Marie Bosch et toute son équipe, élus et employés municipaux, ont été nos premiers soutiens et nous ont apporté une aide inconditionnelle pendant ces deux ans.

Au village, nous avons aussi rencontré René Magna, Ginette et Noël Gendron, Philippe Laviose, Eric Ténas et Xavier Canal qui, chacun dans leur domaine nous ont fait bénéficier de leur expérience et de leur savoir.

J'ai toujours été reçue très amicalement par les personnels des services d'état civil de toutes les communes auxquelles je me suis adressée, en personne comme au téléphone.

Elisabeth (dont je ne connais que le prénom !) du bureau du tourisme de Saint-Laurent-de-Cerdans m'a autorisée à partager quelques images du musée.

Sophie Milard, bibliothécaire au Diocèse de Perpignan et Elisabeth Creton, aumônier chargée des archives au Diocèse des armées m'ont apporté des précisions sur les plaques commémoratives dans les églises.

Les sites Mémoires des Hommes, Mémorial GenWeb, In Flanders Fields Museum (en Belgique) m'ont permis de trouver une foule de renseignements sur le parcours militaire des trente-trois Serralonguais. Les archives départementales de plusieurs départements ont comblé mes connaissances sur leur vie civile. Je voudrais saluer ici le travail remarquable des archivistes. À Perpignan, ils nous ont patiemment initiés aux joies (pour les yeux...) de la lecture des microfilms quand certaines données n'avaient pas encore été numérisées.

Quand il ne nous a pas été possible de nous rendre dans les nécropoles trop éloignées, des membres passionnés du Forum Pages 14-18, toujours prêts à rendre service, sont allés photographier les tombes pour nous. Certains nous ont aussi fourni d'autres documents intéressants. Ils sont trop nombreux pour être cités ici mais vous trouverez leur nom sur les panneaux.

Ma gratitude va tout particulièrement à Philippe Ray, Consul général, directeur de l'Institut français à Thessalonique, en Grèce, qui nous a fait parvenir les images de la nécropole de Zeïtenlick et de la tombe de Michel Trescases.

L'Office Nationale des Anciens Combattants et des Victimes de Guerre nous a été d'une aide précieuse pour localiser les tombes grâce aux plans numérotés des nécropoles qu'il a pu nous fournir.

La pluie battante n'a pas découragé Jean-Paul Seichepine, président du comité local du Souvenir Français à Lunéville, qui nous a accompagnés dans un champ sur le lieu exact de la mort de Raymond Quintane.

J'ai contacté par ailleurs de nombreuses personnes qui m'ont autorisée à utiliser le fruit de leurs propres recherches ou des images qu'ils avaient publié sur la toile.

En me laissant admirer le superbe coupe-papier confectionné par son grand-père dans les tranchées, mon amie Claudette m'a fait découvrir l'art des Poilus.

Et bien sûr, plus que tout, j'aimerais remercier les familles qui se sont manifestées.

Celle de Louis Bocabarteille, grâce aux articles parus dans l'Indépendant, avec la complicité de Jean-Pierre Juanole, le correspondant local.

Bien que ne disposant plus de documents, l'arrière-petite-nièce de Pierre Chambon a pu partager avec nous quelques souvenirs de l'histoire familiale.

Chaque rencontre avec la famille de Pierre, Raymond Quintane, de leur "cousin Joseph", ainsi que celle de Jérôme Moli ont été très émouvantes. J'ai tenu entre mes mains des courriers, des plaques d'identification, des photos ; autant d'objets dont nous pouvons présenter des copies. On éprouve toujours une certaine gêne à violer l'intimité des personnes en lisant ces courriers mais cela participe à l'indispensable devoir de mémoire que nous leur devons aujourd'hui.

Je sais ce que je dois à chacun d'entre vous ; je crois n'avoir oublié personne... Mais si c'était le cas, si malgré toute l'attention que j'ai portée à mon travail, j'ai commis quelque erreur, j'espère qu'on ne m'en tiendra pas rigueur !

Merci à vous tous ! 

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